
C’était mon livre de chevet, j’avais 20 ans je crois.
Je me souviens que je cherchais déjà (et je cherche encore), tout comme ce Siddhartha, à atteindre la connaissance de moi-même. J’admire sa liberté à refuser de suivre le Gautama Bouddha, préférant tracer sa propre route. Je m’y efforce aussi, bien que tenté souvent d’épouser telle ou telle voie de sagesse.
J’ai compris, après la lecture de ce roman initiatique et philosophique, que la sagesse ne peut se trouver qu’en explorant à l’intérieur de soi, pas à l’extérieur. Ce prix Nobel de littérature m’accompagnera pour toujours…