Ah, une pianiste au talent, à la personnalité et à la liberté sans compromis qui pulvérise les codes de la musique classique ! Elle m’a inspiré le personnage atypique d’Anna dans Promets-moi de vivre.

Comme Kathia, Anna est libre et ne pose aucune limite à sa performance. Comme pour Anna, les sons riment avec méditation pour Kathia.
Je dois vous avouer que son interprétation du Larghetto du Concerto pour piano n°2 de Chopin m’a profondément bouleversé, au point d’en faire un passage central dans les rapports entre Anna et Henri.

J’ai voulu ce roman très musical, sensoriel, envoûtant. C’est en partie grâce à Kathia ! Et le mercredi 17 novembre 2021, Sophie et moi sommes aller écouter Kathia Buniatishvili, en concert à Lyon. Pas de hasard ! Mon ticket porte le n°5, Anna porte aussi le n°5 … de Chanel….
Je n’ai pas osé aller la voir, préférant conserver secret ce lien qui nous unit.

Crédit photo couverture : Frankie Fouganthin

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